Découvrez les prix au m², l'attractivité et les avantages des quartiers les plus prisés du 16e arrondissement de Paris, en étant accompagné par une agence immobilière locale experte. L'avenue de la Grande Armée dépasse le rôle d'une simple voie urbaine ; elle incarne un symbole majeur de Paris, riche en histoire et représentant un axe stratégique au cœur de la capitale. Avec son architecture majestueuse, son dynamisme unique et ses excellentes connexions, elle s'affirme comme un lieu incontournable pour les visiteurs et résidents de la ville.
Estimation du prix moyen au m² de l’avenue de la Grande Armée - Paris 16e
Les prix de l'immobilier sur l’avenue de la Grande Armée, au cœur du prestigieux 16e arrondissement de Paris, sont déterminés par plusieurs facteurs essentiels. La proximité immédiate des commodités, l'accès direct aux transports en commun, ainsi que l'attractivité de ce quartier résidentiel et de son cadre de vie exceptionnel, influencent directement les tarifs. À ce jour, le prix moyen au mètre carré sur l’avenue de la Grande Armée est de 10 488 €, avec des écarts allant de 9 125 € à 14 732 €, en fonction des spécificités de chaque bien immobilier.
Les prix peuvent varier en fonction des évolutions du marché immobilier parisien et des tendances économiques. Pour obtenir une estimation précise et actualisée des prix immobiliers sur l’avenue de la Grande Armée, il est conseillé de consulter les dernières annonces en ligne ou de faire appel à l'estimateur FREDELION. N'hésitez pas à contacter un conseiller Fredélion au 01.86.95.52.62 pour une estimation personnalisée, parfaitement adaptée à vos attentes.
Localisation de l’avenue de la Grande Armée - Paris 16e
L'avenue de la Grande Armée, située dans le 16ème arrondissement de Paris, est l'une des artères les plus emblématiques de la capitale, dépendant de la place de l'Étoile à la porte Maillot. Bien qu'elle traverse également le 17ème arrondissement, l'avenue entretient un lien particulier avec le quartier résidentiel de Chaillot, au cœur du 16ème, où l'on trouve des immeubles haussmanniens prestigieux et de nombreux jardins privés. Longue de 775 mètres et large de 70 mètres, elle délimite les frontières entre les 16ème et 17ème arrondissements tout au long de son parcours.
L'avenue, prolongement des Champs-Élysées au-delà de l'Arc de Triomphe, se poursuit après la porte Maillot par l'avenue Charles de Gaulle, offrant une vue imprenable sur la Seine et la Défense, avec une perspective de plus de 15 kilomètres. Le tunnel de l'Étoile, passant sous l'Arc de Triomphe, relie directement l'avenue des Champs-Élysées à la Grande Armée, offrant ainsi une accessibilité sans égale.
Au 36 de l'avenue, la place Yvon et Claire Morandat, inaugurée en 1987 en hommage à deux résistants, constitue un point de repère important. C'est également ici que l'on trouve l'entrée de la station de métro Argentine, ainsi que la rue d'Argentine, anciennement nommée "Obligado", renforçant ainsi la connectivité du quartier.
L'avenue de la Grande Armée bénéficie d'un excellent réseau de transports en commun, avec les stations de métro Argentine, Charles de Gaulle - Étoile et plusieurs lignes de bus qui desservent l'avenue. Ces commodités permettent une mobilité optimale pour les résidents et les visiteurs, faisant de cette avenue un emplacement idéal pour ceux qui recherchent une vie urbaine dynamique.
Bordée de magnifiques immeubles haussmanniens, de commerces de luxe, d'hôtels particuliers et de bâtiments institutionnels, l'avenue de la Grande Armée est un boulevard monumental et fonctionnel. Créée au XIXe siècle lors des grands travaux de rénovation haussmanniens, elle est rapidement devenue un symbole stratégique de la capitale, théâtre de nombreuses manifestations et événements.
Aujourd'hui, cette avenue vivante et animée reste un lieu incontournable à Paris, avec de nombreux commerces, restaurants et hôtels, contribuant à l'attractivité du quartier. Plusieurs projets de rénovation en cours, tels que la végétalisation de l'avenue et l'amélioration des transports en commun, visent à offrir une qualité de vie encore plus élevée aux habitants et visiteurs du 16ème arrondissement, tout en enrichissant le paysage urbain.
Origine de l’avenue de la Grande Armée - Paris 16e
L'avenue des Ternes, anciennement appelée « chaussée de Neuilly », était historiquement la principale voie dépendant de Paris à l'ouest, traversant le gué de Neuilly. Dès l'époque gauloise et au Moyen Âge, cette route permettait de rejoindre des destinations comme Saint-Germain, Cherbourg et Le Havre. Elle portait le nom de « route des rouliers », d'où provient le nom du quartier du Roule.
L'avenue de la Grande Armée, en revanche, est un projet plus récent, inauguré sous le règne de Louis XV. À cette époque, la place de l'Étoile était encore un carrefour de chasse situé à l'extérieur des limites de Paris, sur la butte de Chaillot. En 1668, Colbert, ministre de Louis XIV, demanda à André Le Nôtre d'élargir la perspective des jardins des Tuileries en créant une grande allée menant vers Neuilly, qui deviendra l'un des axes majeurs de la capitale.
Dans les années 1700, cette allée bordée d'ormes devint un lieu de promenade, jouxtant le bois de Boulogne. En 1724, huit allées rayonnantes furent aménagées, comme le montre le plan de Trudaine de 1746. Sous Louis XVI, la route fut officiellement ouverte, atteignant une largeur impressionnante de 70 mètres, tout en maintenant la continuité de la perspective depuis les Tuileries jusqu' à l'Étoile.
Les travaux de nivellement de la butte furent réalisés en 1762 et 1774 sous la direction du marquis de Marigny, permettant de tracer une perspective majestueuse de l'Étoile vers les Tuileries. En 1770, un projet ambitieux proposait de transformer la butte de Chantecoq en un vaste carrefour circulaire, mais il ne fut jamais réalisé.
Sous Haussmann, la place de l'Étoile fut transformée en 1854, devenant le point de convergence de douze avenues, dont l'avenue de la Grande Armée. Au fil du temps, l'avenue a changé de nom plusieurs fois : « route de Neuilly » en 1730, « route de Saint-Germain » en 1820, puis « avenue de la Grande Armée » en 1864. Elle faisait auparavant partie de la route nationale n°13 dépendant de Paris à Cherbourg, et aujourd'hui, un tronçon de 100 mètres au-delà de la porte Maillot est encore appelé « avenue de Neuilly ».
L'avenue a été marquée par des événements historiques, comme lors de la Première Guerre mondiale, où elle fut touchée par des bombardements en 1918. Dans les années 1930, ses contre-allées bordées d'arbres offraient des promenades ombragées et une piste cyclable, faisant de l'avenue un lieu de flânerie prisé, symbole de l'élégance des grandes artères parisiennes de l'époque.
Une avenue historique de Paris : entre défilés, hommages et grandes manifestations
S'étendant sur 775 mètres et large comme les Champs-Élysées, cette avenue emblématique du 16ème arrondissement fut, jusqu'en 1920 – année de l'installation de la tombe du Soldat inconnu – l'entrée triomphale de Paris. Autrefois, les défilés partaient de la porte Maillot et de l'avenue de la Grande Armée, rejoignant les Champs-Élysées sous l'arc monumental.
Dès le 29 novembre 1748, Louis XV fit défiler les Gardes françaises de la porte Maillot à l'Étoile. Le 15 août 1806, la première pierre de l'Arc de Triomphe fut posée, et en 1810, bien que les piles de l'arc ne fussent qu'à un mètre de hauteur, Napoléon Ier fit ériger une maquette en bois et toile pour célébrer l'arrivée de son épouse, l'archiduchesse Marie-Louise d'Autriche.
Après les défaites françaises de 1814 et 1815, les troupes russes, autrichiennes et prussiennes traversèrent l'arc. Cette avenue est ensuite devenue le lieu de nombreux événements historiques :
- 2 décembre 1823 : Défilé du duc d'Angoulême, vainqueur d'Espagne.
- 4 juillet 1837 : Accueil du duc Ferdinand d'Orléans et de son épouse Hélène de Mecklembourg sous l'arc.
- 15 décembre 1840 : Passage solennel des cendres de Napoléon Ier, ramenées de Sainte-Hélène.
L'avenue fut également témoin de la traversée des troupes prussiennes en 1871, des combats de la Commune, et des funérailles nationales de personnalités comme Victor Hugo (1885) et Sadi Carnot (1894).
Le 14 juillet 1919, l'avenue fut le théâtre du célèbre défilé de la Victoire, célébrant la fin de la Première Guerre mondiale, acclamé par plus d'un million de spectateurs. Sous l'Arc de Triomphe, un cénotaphe temporaire de 30 tonnes, sculpté par Antoine Sartorio, fut installé pour rendre hommage aux soldats tombés.
L'inhumation du Soldat inconnu le 28 janvier 1921 et la première flamme allumée le 11 novembre 1923 marquèrent un tournant. Les défilés commencèrent alors à partir des Champs-Élysées, contournant l'arc ou honorant des héros comme les maréchaux Foch (1929), Joffre (1931) et Leclerc (1947).
Plus récemment, le 24 mars 2013, l'avenue accueillait la Manif pour tous, un rassemblement majeur, attirant des centaines de milliers de participants, démontrant à nouveau son rôle central dans l'histoire et la culture nationale.
L'avenue de la Grande Armée : Un héritage automobile au cœur du 16ème arrondissement de Paris
L'avenue de la Grande Armée, située dans le prestigieux 16ème arrondissement de Paris, demeure un centre historique de l'automobile et des cycles. Cette artère emblématique, toujours vivante avec ses concessionnaires, garages et marchands de motos, témoigne d'une riche tradition automobile. L'ancien siège de Peugeot, vestige de cet héritage, en est un symbole.
Dès la fin du XIXe siècle, le quartier autour de l'avenue, comprenant des rues comme Villaret de Joyeuse, Brunel et Guersant, devient un véritable carrefour pour l'industrie automobile, les vélocipèdes et leurs accessoires. En 1900, 34 entreprises dédiées à l'automobile sont recensées sur l'avenue, tandis que plus de 50 autres occupent le quartier, faisant de cet endroit un pôle industriel majeur.
Des marques légendaires telles que Peugeot, Renault, De Dion Bouton et Panhard Levassor ont marqué l'histoire de l'automobile en ces lieux. Les salons de l'automobile, organisés dès 1894 dans la salle Wagram, ont contribué à forger la réputation de cette zone. À partir de 1900, ces événements se sont installés au Grand Palais.
Aujourd'hui, cet héritage perdure. La place Saint-Ferdinand abrite une statue en l'honneur de Serpollet, et le square Parodi, près de la porte Maillot, commémore l'exploit du Paris-Bordeaux-Paris de 1895. Ces éléments rappellent l'importance historique du secteur automobile tout en offrant aux résidents un cadre de vie unique, alliant tradition et modernité.
L'avenue de la Grande Armée, ainsi que ses rues adjacentes, sont le reflet d'un patrimoine incomparable et d'un dynamisme toujours présent, contribuant à faire de ce quartier du 16ème arrondissement un lieu prisé tant par les amateurs d'histoire que par ceux en quête de propriétés prestigieuses.
L'avenue de la Grande Armée, située dans le 16ème arrondissement de Paris, tire son nom de Napoléon III, qui l'a baptisée en hommage à la légendaire Grande Armée, force emblématique des campagnes militaires du Premier Empire. La Grande Armée, dirigée par Napoléon Ier entre 1804 et 1814, puis pendant les Cent Jours en 1815, est l'une des plus puissantes formations militaires de l'Histoire Sous le commandement de Napoléon, elle a recruté un nombre impressionnant de soldats : 185 000 hommes sous le Consulat et plus de deux millions sous l'Empire, soit près de 36 % des hommes mobilisables et 7 % de la population totale.
Cette armée, surnommée « les grognards », en référence aux soldats souvent mécontents de leurs conditions de vie, est devenue un symbole de dévouement et de loyauté. Malgré leurs plaintes, ces hommes étaient animés par un sens profond de l'honneur militaire et une quête de reconnaissance sociale, avec une fidélité plus tournée vers Napoléon que vers la France elle-même. Ce lien quasi mystique entre l'empereur et ses troupes a contribué à forger la légende de la Grande Armée, qui reste un élément clé de l'histoire de France.
Points d'intérêt de l’avenue de la Grande Armée - Paris 16e
Au 4 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
Ancien emplacement du cinéma Le Napoléon, inauguré en 1934 et fermé en 1988. Ce lieu emblématique était dédié à la projection des dessins animés de Walt Disney.
Au 6 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
En 1909, Roland Garros avait établi à cet endroit son enseigne dédiée aux voiturettes de sport, baptisée "Roland Garros Automobiles".
Au 12 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
Le photographe français Valentin Vaucamps, né le 21 octobre 1860 à Maubeuge, fonda la société Lumina, une entreprise dédiée à la fabrication d'appareils photographiques. Cette société se distingue par l'exploitation du procédé trichrome, permettant de produire des photographies en couleur.
Au 16 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
La pianiste française Marguerite Long a résidé en ces lieux.
Au 22 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
En 1947, Paul-Émile Victor choisit ce lieu pour installer le siège des Expéditions polaires françaises (EPF).
Au 23 avenue de la Grande Armée – 75116 Paris
Le peintre et graveur Jules-Ferdinand Jacquemart (1837-1880), personnalité influente du monde de l'art, résida à cette adresse de 1873 jusqu'à sa mort. Fils de l'historien d'art Albert Jacquemart (1808-1875), il marque son époque par son engagement artistique et sa présence dans les cercles parisiens les plus distingués.
Au 24 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
Ce bâtiment fut autrefois le domicile du peintre militaire Édouard Detaille (1848-1912), célèbre pour ses grandes « machines » historiques, très prises de son époque. Le sculpteur Jean Antonin Carlès (1851-1919), lauréat du Grand Prix de l'Exposition universelle de 1889, y résida également avant d'installer son atelier au 98, rue des Batignolles. Entre 1900 et 1907, cette adresse abritait le magasin d'exposition de la Société industrielle des téléphones-voitures automobiles système Ader, fondée par Clément Ader, pionnier de l'aviation en France.
Au 26 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
La peintre Rose Marguerite Guillaume a résidé de 1902 à 1947. Dans les années 1960, cet endroit est devenu un repère pour les passionnés de voitures de sport, qui y fréquentaient la boutique Matra Sports.
Au 27 avenue de la Grande Armée – 75116 Paris
Les magasins 'Au Petit Matelot', présents dans le 16ème arrondissement de Paris depuis 1906, sont situés au coin de la rue d'Argentine. Une plaque commémorative rappelle leur origine sur le quai d'Anjou, sur l'île Saint-Louis, où ils ont été fondés en 1790. Expropriés en 1932, ces commerces historiques sont également mentionnés par Balzac dans son 'Petit dictionnaire des enseignes' en 1826. Un lieu emblématique de l'histoire parisienne, ancré dans le quartier, à proximité des points d'intérêt du 16ème.
Au 37 avenue de la Grande Armée – 75116 Paris
Le pasteur Samuel Honyman Anderson, né en 1845 à l'île Maurice et décédé à Paris en 1923, résidé dans le 16ème arrondissement de Paris. Engagé dans la Mission populaire évangélique depuis les années 1880, il a marqué l'histoire de la capitale par son action sociale. En février 1905, avec ses propres moyens, il fonde une roulotte ambulante dédiée à l'évangélisation des enfants vivants dans la Zone et les quartiers environnants des anciennes fortifications de Paris. Un acteur clé de l'engagement chrétien dans les quartiers parisiens, son œuvre a laissé une empreinte durable.
Au 42 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
L'ancien cinéma La Boîte à Films, anciennement Studio Obligado, a ouvert ses portes en 1938 et a été démoli en 1987. Il était principalement fréquenté par les domestiques du quartier, qui y visionnaient des films en espagnol.
Au 45 avenue de la Grande Armée – 75116 Paris
Autrefois projetée au 41, cette adresse historique était le siège de l'usine Maison Carré, fondée par Félix Carré dans les années 1850 pour la fabrication de mobilier de jardin, notamment des sièges en métal et des structures plus imposantes comme des volières et des serres. Reconnu pour son savoir-faire, l'entreprise s'illustre lors de diverses expositions en Europe et remporte plusieurs contrats prestigieux, dont des réalisations pour la ville de Paris, tels que l'aménagement du bois de Boulogne et des jardins des Champs-Élysées. Profitant de l'engouement de la bourgeoisie pour l'embellissement des espaces extérieurs, la Maison Carré se développe rapidement En 1870, l'usine est partiellement détruite par les obus prussiens. Guillaume Lichtenfelder reprend les rêves de l'entreprise, diversifiant sa production en réalisant des halles couvertes à Levallois-Perret et en se voyant confier la fabrication de deux galeries en fer et fonte pour la mairie du 12ème arrondissement de Paris, en 1881. En 1890, après une mise aux enchères, l'usine est rachetée par Émile Wessbecher, un autre fabricant de mobilier de jardin. Avec la montée en popularité du vélo, l'ancienne usine devient un dépôt pour des marques de bicyclettes anglaises. Aujourd'hui, cet emplacement prestigieux est occupé par un immeuble moderne.
Au 46 avenue de la Grande Armée et 48 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
Ancien siège et magasin de la renommée société Mestre et Blatgé, spécialisée dans la vente de pièces détachées, de vélocipèdes et d'automobiles. Pendant plus de cinquante ans, ce lieu a attiré les passionnés, constructeurs, bricoleurs et amateurs de la « petite reine » ainsi que des premiers « quatre roues ». Il abrite aujourd'hui le siège de Sanofi.
Au 54 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
Le temple protestant de l'Étoile, édifié en 1874 dans un style néo-gothique, fait partie de l'Église protestante unie de France.
Au 65 avenue de la Grande Armée – 75116 Paris
Anciennement connu sous les noms d'hôtel de Baye puis d'hôtel Branicki, ce bâtiment historique a été démoli. En 1902, il a été le lieu central de l'affaire Humbert, un scandale impliquant Thérèse et Frédéric Humbert, qui y résidaient à l'époque. Plus tard, il est devenu le siège du Touring Club de France, fondé en 1890. Cette institution, dans ses premières années, a promu l'espéranto, en organisant des cours réguliers, avant de se consacrer à la promotion du tourisme, un domaine qui a marqué son évolution dans le 16ème arrondissement.
Au 74 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
Anciennement le cinéma Maillot Palace, inauguré en 1916, il devient Maillot Palace Cinéma de 1922 à 1980, également connu sous le nom de Cinérama. Il abrite aujourd'hui le café-restaurant La Terrasse, un lieu où, le 12 juillet 1943, un attentat cible une quarantaine de soldats allemands prenant leur petit déjeuner. Bernard Courtault, impliqué dans l'attentat, est condamné à mort et fusillé.
Au 75 avenue de la Grande Armée – 75016 Paris
Anciennement le siège de PSA Peugeot Citroën de 1964 à 2017, ce prestigieux bâtiment a été transformé en 2023 pour devenir le nouveau siège du Boston Consulting Group, consolidant ainsi son rôle clé dans le cœur du 16ème arrondissement de Paris.
Au 78 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
L'ancien site du Concert de la Porte Maillot, désormais transformé en espaces commerciaux et résidentiels.
Au 82 avenue de la Grande Armée – 75017 Paris
Gare de Neuilly - Porte Maillot, située sur l'ancienne ligne de la Petite Ceinture.
A l’emplacement du 83 avenue de la Grande Armée – 75016 Paris
Le cinéma Royal Maillot, anciennement appelé Grand Royal Cinéma et Cinérama, a ouvert ses portes en 1910 dans le 16ème arrondissement de Paris, avant de fermer définitivement en 1969. Ce lieu historique faisait partie intégrante du patrimoine culturel d'Auteuil, en ajoutant une touche de charme au quartier jusqu'à sa fermeture.
Avenue de la Grande Armée – 75016 et 75017 Paris
Située à l'extrémité nord de l'avenue, à proximité de la Porte Maillot, l'implantation du parc d'attractions Luna Park en 1909 a marqué un tournant historique, remplaçant le Printania Music Garden, inauguré en 1904. Aujourd’hui, cet emplacement abrite le Palais des Congrès, un lieu emblématique du 16ème arrondissement, qui continue d'attirer de nombreux visiteurs et professionnels.
Avenue de la Grande Armée – 75016 et 75017 Paris
Deux fois par an, autour du 10 mai et du 1er août, le soleil se couche dans un alignement parfait avec l'avenue de la Grande Armée. Ce phénomène spectaculaire, visible depuis les Champs-Élysées, offre un spectacle unique : pendant quelques minutes, le disque solaire apparaît sous l'Arc de Triomphe Le 10 mai 1994, cet événement a été encore plus marquant avec une éclipse partielle du soleil, enregistrée par près de 200 000 personnes. En sens inverse, depuis la porte Maillot, le soleil se lève également deux fois par an dans l'Arc de Triomphe, aux alentours du 7 février et du 4 novembre, offrant ainsi une vue incomparable sur cet emblématique monument du 16ème arrondissement.
Sectorisation scolaire de l’avenue de la Grande Armée - Paris 16e
Collège/Lycée : Janson de Sailly.
Pour accéder à la carte des secteurs scolaires du 16ème arrondissement, cliquez sur carte des secteurs scolaires.
Carte des prix de l'immobilier Paris 16e
Pour accéder à la carte de la base Notaires, cliquez sur Carte des notaires du Grand Paris
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