- Rue de la Faisanderie - Paris 16

Rue de la Faisanderie - Paris 16

Explorez les dernières tendances du marché immobilier et laissez-vous séduire par le charme unique des quartiers convoités du 16ᵉ arrondissement de Paris, guidé par l'expertise d'une agence locale. Au cœur de ce secteur prestigieux se niche la rue de la Faisanderie, véritable havre de paix. Évoquant un champêtre passé, son nom se marie avec une architecture qui incarne l'élégance et le raffinement de son environnement. Pour ceux en quête d'un cadre de vie serein et privilégié, cette adresse s'impose comme un choix incontournable.

Estimation du prix moyen au m² de la rue de la Faisanderie - Paris 16e

Les prix de l'immobilier de la rue de la Faisanderie, au cœur du prestigieux 16e arrondissement de Paris, sont déterminés par plusieurs facteurs essentiels. La proximité immédiate des commodités, l'accès direct aux transports en commun, ainsi que l'attractivité de ce quartier résidentiel et de son cadre de vie exceptionnel, influencent directement les tarifs. À ce jour, le prix moyen au mètre carré de la rue de la Faisanderie est de 11 136 €, avec des écarts allant de 9 455 € à 15 755 €, en fonction des spécificités de chaque bien immobilier.

Les prix peuvent varier en fonction des évolutions du marché immobilier parisien et des tendances économiques. Pour obtenir une estimation précise et actualisée des prix immobiliers de la rue de la Faisanderie, il est conseillé de consulter les dernières annonces en ligne ou de faire appel à l'estimateur FREDELION. N'hésitez pas à contacter un conseiller Fredélion au 01.86.95.52.62 pour une estimation personnalisée, parfaitement adaptée à vos attentes.

Localisation de la rue de la Faisanderie - Paris 16e

Située au cœur du prestigieux 16ᵉ arrondissement de Paris, la rue de la Faisanderie se trouve dans le quartier résidentiel d'exception surnommé « quartier de la Porte-Dauphine ». Proche de deux des artères les plus renommées de l'arrondissement, l'avenue Foch et la rue de Longchamp, elle bénéficie d'un emplacement idéal, à deux pas de commerces, restaurants et espaces verts.

D'une longueur de 810 mètres et d'une largeur de 12 mètres, cette voie en sens unique, orientée du nord vers le sud, s'étend de l'avenue Bugeaud jusqu'à l'avenue Henri-Martin. Elle est remarquablement bien desservie par les transports en commun : la station de métro Porte Dauphine (ligne 2) se trouve à proximité, tout comme la gare de l'avenue Foch (ligne C) et celle de l'avenue Henri-Martin, situées respectivement vers le centre et l'extrémité sud. Plusieurs lignes de bus facilitent également les déplacements dans le secteur.

Calme et résidentielle, la rue de la Faisanderie se distingue par ses immeubles haussmanniens élégants et ses hôtels particuliers, véritables témoins du prestige de ce quartier très prisé, où se côtoient également de nombreuses ambassades et consulats. Offrez un cadre de vie serein et verdoyant, elle tient aussi les familles grâce à ses écoles réputées et à son environnement apaisé, à l'abri de l'effervescence du centre de Paris. Malgré quelques évolutions urbaines au fil des années, la rue a su conserver tout son charme d'antan et son caractère exclusif.

Origine de la rue de la Faisanderie - Paris 16e

Cette voie fut inaugurée à partir de l'allée principale de l'ancienne faisanderie, surnommée « Petit-Parc », qui s'étirait au nord du parc principal du château de la Muette, le « Grand-Parc » – lieu où se dresse aujourd'hui l'OCDE – jusqu'à l'avenue de la Grande-Armée, frontière des anciennes communes de Neuilly et de Passy. Le terrain, dépendance du château, fut vendu comme bien national en 1796 au comte de Saint-Simon avant d'être cédé à Casimir Périer, futur ministre de Louis-Philippe.

Ouverte aux environs de 1840 entre l'avenue Bugeaud et la rue de Longchamp – alors désignée « rue de l'Ancienne-Faisanderie » – la voie fut d'abord prolongée jusqu'à la rue du Puits Artésien, puis, vers 1858, étendue jusqu'à l'ancienne avenue d'Eylau. Elle fut définitivement intégrée dans la voirie parisienne par un décret en date du 23 mai 1863.

Son nom tire son origine de l'ancienne faisanderie qui se trouvait dans le domaine du château de la Muette, aujourd'hui disparu.

Points d'intérêt de la rue de la Faisanderie - Paris 16e

Au 2 rue de la Faisanderie jusqu’au 6 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Situé à l'emplacement de l'ancien hôtel Watel-Dehaynin, ce bâtiment fut conçu par Georges Chedanne, l'architecte des Galeries Lafayette, et orné par les œuvres des sculpteurs Georges Gardet, François Sicard, Boutry, Derré, Henri-Édouard Lombard et Raoul Verlet, ainsi que par les peintres Luc-Olivier Merson et Lavallée. L'hôtel a été démoli en 1974 (bâtiment disparu).

Au 3 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Cet hôtel particulier, autrefois propriété de l'actrice Claude France, fut le théâtre de son suicide tragique par inhalation de gaz le 3 janvier 1928. C'est également à cette adresse que s'éteignit Élisabeth de Gramont (1875-1954), duchesse de Clermont-Tonnerre surnommée « la Duchesse rouge », femme de lettres, amie de Marcel Proust et officier de la Légion d'honneur. En 1945, l'actrice Elvire Popesco (1894-1993) résidait sur place et y fit réaliser d'importants travaux d'agrandissement.

Au 5 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Aujourd'hui, ce lieu abrite l'ambassade de Macédoine en France, alors qu'il fut autrefois le siège de l'ambassade du Monténégro.

Au 11 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Autrefois, sur le site jadis occupé par l'hôtel Desmarais (désormais disparu), l'industriel Émile Armet de Lisle (1853-1928) y résida jusqu'à la fin de ses jours.

Au 13 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Ce lieu correspond à l'ancien emplacement de la résidence parisienne des propriétaires du château de Sept-Saulx, à Sept-Saulx dans la Marne, bien que le bâtiment ait été détruit.

Au 11 rue de la Faisanderie et au 13 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Dans la nuit du 15 janvier 1982, l'homme d'affaires controversé Marcel Francisci est abattu de trois balles dans sa Jaguar, alors qu'il se trouvait dans un parking souterrain à cet endroit.

Au 14 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Georgius (1891-1970), à la fois auteur et interprète, y a élu domicile.

Au 16 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

L'hôtel Seton-Porter, un hôtel particulier de style néo-Louis XVI construit en 1899 par l'architecte Henry, incarne l'élégance d'un modèle classique. En 1909, Jacques Doucet y installa sa célèbre collection. Aujourd'hui, le bâtiment abrite l'Union des fabricants (Unifab) et le musée de la Contrefaçon. Il est également le lieu où l'une des premières scènes du film La Grande Vadrouille a été tournée.

Au 26 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Julien Goujon y a résidé, tandis que l'espionne Mathilde Carré y loua un appartement, avec l'approbation d'Hugo Bleicher.

Au 27 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Légation de Monaco au début du XXᵉ siècle.

Au 31 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

L'actrice Claude France (1893-1928) résidait jusqu'à sa mort dans un hôtel particulier singulier, presque inquiétant, dont l'intérieur semblait tout droit sorti de l'imagination d'un Conan Doyle.

Au 33 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

L'hôtel de Goldschmidt-Rothschild, autrefois résidence de la baronne Marie-Anne von Friedlaender-Fuld (1892-1973), épouse du baron de Goldschmidt-Rothschild, était un lieu de prestige où elle conserva une remarquable collection de peintures impressionnistes, en tant que grande collectionneuse d'art. Par la suite, elle vendit le pavillon situé à l'arrière du jardin à l'actrice Nicole Stéphane (1923-2007).

Au 44 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Pendant l'Occupation, une section de l'État-major du Befehlshaber der Ordnungspolizei (BdO) y était installée.

Au 41 rue de la Faisanderie jusqu’au 49 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

L'hôtel Hériot, construit en 1903 pour Cyprienne Dubernet, veuve d'Olympe Hériot, directrice des Grands Magasins du Louvre, a été conçu par l'architecte danois Georges Tersling dans un style néo-Louis XVI. En 1905, cet immeuble remporta le concours de façades de la ville de Paris. Le banquier américain Henry Herman Harjes (1875-1926) y a résidé. En 1928, il est vendu à Mme Jules Patenôtre, veuve de l'ex-ambassadeur de France aux États-Unis. Pendant l'Occupation, un parti de l'État-major du Befehlshaber der Ordnungspolizei (BdO) et est logée. Actuellement, il abrite les services commerciaux de l'ambassade de Russie. Dans les années 1960, l'agent du KGB Vladimir Vetrov et sa femme Svetlana y vivent également.

Au 48 rue de la Faisanderie et 50 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Les bâtiments annexes de l'ambassade de Malaisie en France se trouvent au numéro 48, adresse où Maurice Petsche a résidé et où il est décédé.

Au 51 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

L'ambassade de Guinée en France occupe ce site depuis plusieurs années. Le 3 juillet 1974, un attentat à l'explosif a gravement endommagé la façade de l'ambassade de Cuba, alors établi à cette adresse.

Au 53 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Construit en 1899 par Henri Grandpierre pour Marie de Goulaine, épouse du célèbre chanteur lyrique Jean de Reszké, cet hôtel et théâtre privé était destiné à un usage exclusif. Le théâtre, situé du côté de la rue du Général Appert, avait une forme ronde et pouvait accueillir jusqu'à 120 personnes. Au fil des années, l'hôtel devient l'ambassade d'Irak, avant de se transformer en bureau culturel de celle-ci.

Le 31 juillet 1978, l'ambassade d'Irak est le théâtre d'un événement tragique : deux Palestiniens pénètrent dans les lieux, lancent une grenade et ouvrent le feu. L'un des assaillants parvient à se retrancher au premier étage avec neuf otages. Quelques heures plus tard, une violente fusillade éclate entre les gardes de l'ambassade et les policiers français, faisant une victime dans chaque camp.

Au 54 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Ancienne mission diplomatique de la Yougoslavie en France.

Au 55 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

À cet emplacement, plusieurs constructions se sont succédées au fil des années, dont l'hôtel particulier des Ménard-Dorian, édifié en 1883, un immeuble de huit étages construit en 1914, et enfin, la bâtisse actuelle datant de 1935. En 1924, le couturier Jean Patou (1887-1936) y fait aménager et décorer son hôtel particulier par les artistes André Mare, Bernard Boutet de Monvel, ainsi que le ferronnier d'art Richard Georges Desvallières.

Au 55 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Le photographe et sculpteur Adam Salomon (1818-1881) a résidé à cette adresse. À partir de 1889, Aline Ménard-Dorian (1850-1929), vice-présidente de la Ligue des droits de l'homme et fervente dreyfusarde, y organise des dîners et soirées littéraires ou musicales, attirant des écrivains et artistes tels qu'Alphonse Daudet, les frères Goncourt, Émile Zola, Erik Satie, Auguste Rodin, et bien d'autres. Aline Ménard-Dorian a inspiré à Marcel Proust le personnage de « Madame Verdurin ». Ce bâtiment a été détruit.

Au 59 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Le siège social du groupe Le Conservateur, spécialisé dans l'assurance.

Au 67 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Le grand-duc Boris Vladimirovitch de Russie (1877-1943) résidait à cette adresse, où il est décédé le 8 novembre 1943.

Au 74 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Anciennement le Musée Tattegrain, un musée d'art privé et familial, fermé aux alentours de 1966.

Au 79 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Anciennement numéro 47, cet hôtel particulier a été conçu par l'architecte Henri Grandpierre à la fin du XIXe siècle. Il est mentionné dans la revue La Construction moderne en 1898. À l'arrière de la propriété, un atelier est relié à l'hôtel par une galerie vitrée. En 1903, cet hôtel, comportant cinq chambres de maître et une galerie de 13 mètres, est mis en vente pour 225 000 francs. En 1909, il devient la propriété du dessinateur Caran d'Ache (1858-1909), qui y réside, selon un article de presse de l'époque, dans un cadre somptueux et préservé des regards.

Au 81 rue de la Faisanderie et 83 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

L'hôtel particulier a été construit par Simon Natanson après l'achat du terrain nu le 27 décembre 1879. Il fut ensuite occupé par Marthe Lazard, fille d'Alexandre Lazard, cofondateur de la banque Lazard, et son mari, l'architecte Richard Bouwens van der Boijen, après l'acquisition de la propriété à Isabelle Long, veuve de Simon Natanson, le 19 mars 1908.

Au 82 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Emplacement de l'hôtel appartenant à un couple roumain, M. et Mme Hector Economos (bâtiment démoli).

Au 85 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Cette maison a appartenu au commandant Paul-Louis Weiller. Après la guerre, elle a été la résidence du duc et de la duchesse de Windsor.

Au 86 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Service économique et commercial de l'ambassade de Pologne en France.

Au 87 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Le bureau de liaison militaire de l'ambassade d'Arabie saoudite en France.

Au 89 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Du 1er au 6 septembre 2007, cet immeuble de bureaux de 2 500 m², jusque-là inoccupé, a été réquisitionné par le collectif Jeudi Noir, qui y a installé des étudiants.

Au 93 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

C'est à cet endroit que, le 2 mars 1942, les résistants Georges Dudach et Charlotte Delbo furent arrêtés par cinq policiers des Brigades spéciales. Une plaque commémorative leur rend hommage.

Au 95 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

L'écrivain Pascal Jardin (1934-1980) a résidé à cette adresse durant les années 1970.

Au 98 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

C'est à cet endroit qu'en octobre 1943, les résistants Henri Garry et Noor Inayat Khan sont capturés, à proximité des bureaux de la Gestapo, situés avenue Foch.

Au 118 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Propriété de l'ex-président du Pérou, SE Alan García, depuis 1997.

Au 123 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

L'hôtel de Charles de Freycinet, président du Conseil, a été démoli.

Au 125 rue de la Faisanderie – 75016 Paris

Ancien hôtel particulier conçu pour le « comte de L. » par l'architecte Charles Blanche en 1909, ce bâtiment a été achevé en moins d'un an dans le style néo-Louis XVI.

Rue de la Faisanderie – 75016 Paris

À l'angle de la rue de la Faisanderie et de la rue Dufrenoy, Arsène Lupin réside dans un hôtel particulier sous l'identité du colonel Sparmiento.

Sectorisation scolaire de la rue de la Faisanderie - Paris 16e

Collège/Lycée : Janson de Sailly.

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Carte des prix de l'immobilier Paris 16e

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